Pardon

Je ne sais du repos si je puis t’escompter,
Mais permet à mes mots de pouvoir remplacer
L’abjecte faiblesse dont je me sais emprunt.
Écoutes moi, déesse, ce combat n’est pas vain.

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Il est dans ton soleil, un rayon subtil
Me laissant sans pareils, effleurant de grâces
L’abysse dénuée de statues mobiles,
Mes ardeurs déperdent toutes audaces…

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Pourtant, je voudrais tant pouvoir ne serais ce…
Pourtant, que ravir Temps et tant pour toujours
Pourtant, c’est d’un instant que je ne cesse
Pourtant, de soupirer, l’appétence, un jour.

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Malade du titre, car je respectais trop
Ce rayon qui filtre à travers tes doux yeux,
Et ben ça suffit ! Je tiens pas à mourir malade et je recommence au début avec un titre qui n’a pas besoin de poèmes : Je t’aime ! 

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Dorian Clair | 2011